# 29 - De Arzberg (All.) à Touzim (CZ.)
- horizonsvagabonds
- 24 mars 2016
- 2 min de lecture

This morning we laze in our sleeping bag after the hard time we had the day before. We ride our saddles around 10.30 am and go through the last bavarian hills before to reach, in the middle of a bike path, the first czech paths. We feel a real contrast in the architecture, the maintenance and the urbanism. We have to make a stop in the first village. We go in a coffee shop and the language barrier is already here. Léo succeeds in speaking russian with the manager. We get some trust as soon as we speak about our project. The owner, enthusiastic , is offering us a local liquor. The break was good : nice meetings and good supplying. We keep going and meet an old man who gives us a can of slovak beer. Just before the slope we swallow the beverage. The bloodstream speeds up and we have vertigos. We join Max in Promeny, a little quiet village where we only hear dogs barking. We eat local ham and go back on the road towards Touzin where we set up the tent in the middle of a large plain overlooking the village.
Ce matin nous nous éternisons un peu au chaud dans nos duvets après la dure journée de la veille. Nous chevauchons nos selles vers 10h30 et traversons les derniers vallons de Bavière avant d'atteindre, en plein milieu d'une piste cyclable, les premiers sentiers Tchèque. Nous ressentons un réel contraste qui se manifeste par l'architecture, l'entretien et l'urbanisme de manière général. Une halte s'impose dans le premier village. Nous entrons dans un café et la barrière de la langue s'installe déjà. Léo parvient a échanger en Russe avec le gérant. Une certaine confiance s'installe dès lors que nous parlons de notre projet. Le patron, enthousiasme, nous offre généreusement une eau de vie locale. La pause nous aura été bénéfique, belle en rencontre et aussi quelque part en ravitaillement. Nous poursuivons notre route et croisons un vieil homme qui nous tend une canette de bière Slovaque. Juste avant d'entamer la côte, nous ingurgitons le breuvage. La circulation s'accélère et quelque vertiges se font resentir sur les premiers mètres. Nous retrouvons Max à Promeny, un village calme ou seul l'aboiement de quelques chiens se laisse entendre. Nous engloutissons cette fois quelques tranches d'un jambon de pays et repartons en direction de Touzim ou nous installerons la tente au milieu d'une vaste plaine donnant sur le village.

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